INTRODUCTION

Quand on parle de la Bible, un des premières questions qu’on doit se demander est : Pourquoi ces livres? Pourquoi pas d’autres livres? Est-ce qu’il y a un raison pour lequel nous retrouvons, dans le Nouveau Testament, seulement quatre évangiles quand on nous dit qu’il y avait plusieurs évangiles et épitres en circulation?[1] Qui à déterminer que ces livres, et seulement ces livres, seraient « inspiré, infaillible, et autoritaire »? Dans les paroles de Bart Ehrman, « Quelqu’un à décidé que quatre de ces anciens évangiles, et aucun autre, devraient être accepté dans le canon – la collection des livres sacré des écritures. »[2] Nous allons demander cette question, pourquoi, et sur quel base, est-ce que les livres de la Bible était déclaré autoritaire, à l’incus des autres? Nous allons commencer en donnant une définition de ce que c’est le canon. En suite nous allons expliquer les principes sur lequel les livres de la Bible était choisi, et enfin, nous allons répondre à quelques critiques ou questions. Il faut dire, des le début, que cet article n’a pas comme but de défendre la fiabilité de la Bible, ni de répondre aux questions concernant des contradictions ou erreurs dans la Bible, ni de parler de l’interprétation de la Bible. Le sujet que nous allons aborder cherche à comprendre pourquoi on nous dit que la Bible est complète comme telle, et que seulement ces livres sont inspiré.

 La définition

Le mot canon provient de la Grecque, kanon, qui à comme sens, un canne, un règle, ou canne à mesuré.[3] Le sens du mot à changé légèrement avec le temps, et à pris comme sens, un standard pour n’importe quoi.[4] Quand on parle de la théologie Chrétien, le canon est le standard qui est la source d’autorité pour la Christianisme. F. F. Bruce fait remarquer qu’un des raisons principale pour lequel le canon est importante et nécessaire se trouve dans la question : Àux quelles livres est-ce qu’on peut se référer comme autoritaire sur des questions de doctrine?  Il dit, « Un sujet qui avait de la plus haut importance pour les théologiens de l’église était la nécessité de distingué les livres qu’on pouvait utiliser pour résoudre des questions doctrinales des livres qui n’était qu’encourageant. Seulement les livres qui avaient une autorité apostolique (ainsi que les écrits de l’Ancien Testament interprété par le Nouveau) pouvaient être utilisé comme référence pour, soit l’établissement des vérités qu’on pouvait ‘croire avec assurance’ dans l’église, soit pour tranché dans des points disputé dans les controverses avec les hérétiques. »[5] Ce citation nous introduit à la prochaine sujet. Sur quelle base est-ce qu’on a inclus certaines livres dans le canon, et pas d’autres?

 Les Critères d’Inclusion dans le Canon

Quand on parle du Canon de la Bible, on doit fait une légère distinction entre les critères pour l’Ancien Testament et ceux du Nouveau Testament. Dans la discussion suivante nous allons regarder le Canon de l’Ancien Testament, et les critères d’inclusion dans le Canon, suivis par une exposition du Canon du Nouveau Testament.

 L’Ancien Testament

Le Canon de l’Ancien Testament était décidé longtemps avant la naissance de Jésus, et les apôtres, ainsi que l’ancienne église, basée sur l’autorité de Jésus, avaient accepté le canon, déjà établis, de l’Ancien Testament. « L’utilisation de ces écrits par l’église était basée sur comment Jésus les utilisé : lorsque ses disciples avaient continué l’étude de ces livres, ils découvraient de plus en plus ‘dans tout les écritures des choses concernant lui-même (Luk 24 :27). »[6]

Pour les Juifs, « les livres de la Bible Hébreu sont traditionnellement vingt-quatre en nombre, arrangé selon trois divisions. La première division est le Torah (‘loi’ ou ‘direction’), constituer des cinq ‘livres de Moise’ (Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, Deutéronome). La deuxième division est les Nebî’îm (‘prophètes’) : c’est divisé dans les quatre prophètes ancien (Josué, Juges, Samuel, Rois)[7] et les quatre prophètes tardifs (Ésaïe, Jérémie, Ézéchiel, et le livre des douze prophètes).[8] La troisième division est intitulé le Ketûbîm (‘écritures’) : il est constituer d’onze livres. En premier les Psaumes, Proverbes, et Job; en suite un groupe de cinq qu’on appelle le Megillôt ou ‘rouleaux’ (Cantiques des Cantiques, Ruth, Lamentations de Jérémie, Ecclésiaste, Esther); finalement Daniel, Esdras-Néhémie (considéré comme une livre), Chroniques. »[9] Ce liste est le canon de l’Ancien Testament qui, officiellement, était accepté comme autoritaire par les Juifs et par l’église Chrétienne jusqu’au concile de Trente.[10] L’ancien église, comme déjà mentionné avait accepté, basé sur l’autorité de Jésus, le canon des Juifs, sans rien ajouté. Pourquoi est-ce que ces livres seulement ont étaient reconnue comme étant inspiré de Dieu, et, alors, autoritaire?

Un livre était inclut dans le Canon de l’Ancien Testament pour les raisons suivantes : (1) le livre était écrit par un prophète de Dieu, (2) Le prophète de Dieu était approuvé par Dieu (i.e. – par des miracles, ou signes, etc.), (3) les enseignements du livre en question n’étaient pas en contradiction avec aucun livre déjà reconnue comme autoritaire,[11] et (4) les livres étaient reconnue, et accepté, par la majeure partie des gens, et, en générale, d’un façon continue. Il pareil que les livres de l’Ancien Testament étaient reconnue comme divine assez rapidement, donc, le canon étaient toujours en train de grandir, et on tester des nouveaux livres contre ceux qui était déjà reconnue.[12]

Certaines livres étaient rejeté pour les raisons suivantes : (1) ils contenaient des erreurs (doctrinale, historique, statistique, géographique, etc.), (2) La livre était un pseudépigraphie, c’est-à-dire, l’auteur de la livre en question l’avait attribué à un autre personnage qui étaient plus connue. Un pseudépigraphie est un mensonge, donc, le raisonnement s’en suite, si ne peut pas mentir, alors il ne donnerait pas sa parole à l’homme dans un livre frauduleux. (3) La livre étaient une fiction historique – c’est-à-dire, un livre qui raconte une histoire encourageant mais romancé.[13] Sur ces bases les livres qui font partie de l’apocryphe (qui n’ont jamais étaient reconnue comme divinement inspiré par les Juifs, ni par Jésus, ni par les apôtres, ni par les pères de l’ancien église) ne mérite pas d’être inclus dans le canon, ni d’être reconnue comme divinement inspirée, et alors ils ne sont pas autoritaire pour l’église.

 Le Nouveau Testament

Le Canon du Nouveau Testament s’appuie sur les mêmes principes qu’on vient de mentionné, mais avec quelques précisions. Les livres reconnues par l’église, universelle et entière, comme faisant partie du Canon du Nouveau Testament sont les quatre évangiles (Matthieu, Marc, Luc et Jean), les Actes des Apôtres, les lettres de Paul (Romains, 1 & 2 Corinthiens, Galates, Éphésiens, Philippiens, Colossiens, 1 & 2 Thessaloniciens, 1 & 2 Timothée, Tite, et Philémon), les autres épitres (Hébreux, Jacques, 1 & 2 Pierre, 1, 2 & 3 Jean, et Jude), et l’Apocalypse.

Les principes qui dirigeaient l’ancien église dans l’acceptation du canon sont les suivantes : (1) L’Autorité apostolique, c’est-à-dire, le livre en question, qu’il soit écrit ou non par un apôtre, porté l’autorité d’un apôtre. L’autorité apostolique pourrait être l’approbation du livre,[14] ou le fait que la livre était écrite par un apôtre (comme dans le cas des lettres, et autres écrits, de Paul, Pierre, Jean, Jacques, Mathieu et Jude).[15] (2) Le livre n’enseigner rien qui était en contradiction avec les enseignements de l’Ancien Testament, les enseignements de Jésus, et la tradition des apôtres.[16] (3) Les livres ont était accepté immédiatement, et universellement.[17] Ce sont les principes de base sur lequel un livre était accepté dans le canon.[18] Bruce ajoute à ces trois principes un autre principe qu’il appelle (4) « antiquité », c’est-à-dire, un livre qui appartient, temporellement, à l’âge apostolique (entre 33-100 après J.C.).[19] Norman Geisler fait ressortir cinq principes, générale, pour reconnaître les livres du Canon. « (1) Est-il autoritaire – est-ce qu’il vient avec l’autorité de Dieu? (2) Est-il prophétique – est-ce qu’il était écrit par un homme de Dieu? (3) Est-il authentique – est-ce qu’il dit la vérité concernant Dieu, l’homme, etc.? (4) Est-il dynamique – est-ce qu’il possède la puissance transformatrice de Dieu? (5) Est-ce qu’il était reçu, collecté, lu, et utilisé – est-ce qu’il était accepté par le peuple de Dieu? »[20] Son deuxième point corresponde à notre première pointe – l’autorité apostolique. Son troisième point semblerait de correspondre avec notre deuxième pointe – que le livre ne dit rien en contradiction à l’Ancien Testament, Jésus et la tradition des apôtres. Son cinquième point corresponde à notre troisième pointe – réception universelle et immédiate.

D’où viens les deux pointes supplémentaires (autoritaires et dynamiques)? La question d’autorité pourrait être interprétée de deux façons, (1) objectivement – comme la deuxième façon par lequel on pouvait reconnaître qu’un livre de l’ancien testament était inspirée – l’approbation de Dieu concernant le livre par miracle, signe, etc. (2) subjectivement – c’est-à-dire, que le livre donne l’impression d’être autoritaire au lecteur. Cette deuxième interprétation nous pose le problème suivant : est-ce que l’autorité d’un livre est basée sur le lecteur ou l’auteur? On est obliger de dire que (et ceci s’applique à n’importe quel livre) l’autorité d’un livre est basé sur l’auteur, qui à l’autorité d’affirmer ce qu’on nous dit dans le livre. En donnant le bénéfice de doute à Geisler on accepte la façon objective d’interpréter ce principe. Donc, un autre critère est, suivante Geisler, l’autorité du livre, et ceci est connu par l’affirmation que la livre en question viens de Dieu (par exemple, on voit ceci dans le phrase souvent utilisé dans l’Ancien Testament, « Oracle de l’Éternel », ou dans le fait que Pierre affirme que tout les écrits de Paul vient de la sagesse de Dieu, au même titre des livres de l’Ancien Testament (2 Pie. 3 :15-16).), ou que Dieu donne son approbation au prophète par des miracles et signes.

Concernant l’autre pointe que Geisler amène – dynamiques – on voit ici le problème qu’on souligné ci-haut quand on parler d’une autorité subjective. Il y a beaucoup de livres qui ont une puissance pour changer des vies, et il y a beaucoup des gens qui ont lu la Bible sans que leur vie soit changer, il semblerait que l’effet qu’un livre à sur un personne est dépendante sur l’état du lecteur (par exemple – leur attitude en lisant, ce qui c’est passé dans leur vie, etc.). Donc, on n’accepte pas cette dernière pointe de Geisler comme un véritable signe de canonicité, parce qu’il y a des centaines de livres qui on changé des vies. Ce pointe n’est ni nécessaire, ni suffisante (soit tout seul, soit en combinaison avec les autres points), pour démontré qu’un livre devrait être dans le canon.

Donc, en conclusion nous avons trouvé cinq principes qui démontre, ensemble, qu’un livre devrait être dans le canon : (1) L’autorité apostolique, (2) la teste doctrinale – que le livre ne dit rien en contradiction à l’Ancien Testament, Jésus et la tradition des apôtres (ce qui inclus la notion qu’il ne peut y avoir un contradiction ou erreur dans la Parole véritable de Dieu), (3) réception immédiate (localement) et universelle (éventuellement), (4) antiquité, et (5) l’autorité de Dieu démontré objectivement. Sur la base de ces cinq principes l’ancienne église à découverte le canon du Nouveau Testament.

 Des Problèmes Potentielle

D’autres Évangiles

Ehrman, dans les livres mentionnés dans l’introduction, affirme qu’il y avait beaucoup d’évangiles, mais que seulement quatre était choisis pour être dans la Bible. Il demande pourquoi? Quelqu’un dirait, peut-être, que c’est parce qu’on trouve dans les quatre évangiles l’affirmation de la divinité de Jésus, mais que tout les autres le peinture comme un simple homme? Il y a beaucoup de livres écrit sur ce sujet, donc, je vais donner une simple réponse. Les autres évangiles en question n’ont pas passé la teste de canonicité. Ils sont des pseudépigraphe, écrit par des auteurs inconnu qui attaché au livre le nom d’un apôtre, ou d’un autre personne influent dans l’église ancien. On voit, par exemple, l’évangile de Barnabé, l’évangile de Judas, l’évangile de Marie, l’évangile secret de Marc, l’évangile de Pierre, l’évangile de Thomas, l’évangile des Hébreux, l’évangile des Nazoreans, l’évangile des Ébionites, l’évangile des égyptiens. Ces évangiles portent des noms des personnes influent, ou des nations, mais, ils étaient tout écrit autour, ou après, au plus tôt, l’année 120 après J.C.[21] Donc, sur la base de la critique des manuscrits, on peut voir pourquoi l’église ne les à pas accepté dans le canon. Premièrement, ils ne passent pas le teste de l’antiquité. Deuxièmement, ils ne passent pas le teste de l’autorité apostolique. De plus, si on regarde le contenu des évangiles en question on trouve qu’ils ne passent pas, non plus le test doctrinal.[22] Donc, les évangiles en question ne peuvent pas trouver leur place dans le canon. Ces mêmes testes pourrait être appliqué à n’importe quel autre livre qui pourrait être avancé comme méritant un place dans le canon.

 L’Église ou les Écritures?

On peut se demandé si c’est l’église qui choisi quels livres vont être autoritaire, ou si l’église choisi les livres parce qu’ils sont autoritaire. Autrement dit, est-ce que l’église à crée la Bible ou découvert la Bible? Il me semble, que quand on regarde les cinq principes de canonicité, on est obliger de dire que si Dieu existe, et si Dieu est capable de communiquer à l’homme, et si Dieu à communiquer à l’homme, alors, sa parole serait obliger de passé au moins deux des testes, comme énuméré ci-haut, et un troisième modifié pour être plus générale. C’est-à-dire, il me semble que la parole de Dieu serait, nécessairement, approuvé par Dieu par des miracles et des signes (cinquième point) et qu’il n’y aurait aucun contradiction entre les parties de sa parole, ou erreur dans la parole de Dieu (deuxième point). Troisièmement, il me semble que ceux qui reconnaît ces deux points serait porté à accepté immédiatement la parole donné comme la parole véritable de Dieu (troisième point légèrement modifier). Donc, il me semble que les testes de canonicité sont, en eux-mêmes, s’ensuite logiquement, si Dieu existe, s’il est capable de communiquer avec l’homme, et s’il a communiqué avec l’homme.

Si les critères pour la canonicité de la Bible ne dépends pas de l’église, c’est-à-dire, si ce n’est pas l’église qui à inventé les critères pour la canonicité, alors l’autorité du canon se trouve dans les livres, et pas dans l’église. Ca veut dire que s’il y a de l’autorité dans l’église (par exemple, les enseignements ou conseils de ses dirigeants) cette autorité proviens de la Bible. Ca veut aussi dire que la Bible n’est pas autoritaire parce que c’est la liste autoritaire de l’église; au contraire, c’est la liste autoritaire de l’église parce que ces livres sont, en eux-mêmes, investi avec l’autorité de Dieu. L’église les à découverte en comparant des livres potentielle contre les critères de canonicité.

D’ailleurs, on voit que l’église était honnête dans la découverte du canon, parce qu’a travers l’histoire de l’église plusieurs des livres de la Bible avaient était mis en doute pour un raison ou pour un autre. Mais, en s’appuyant sur les critères qu’on vient de voir, en étudiant les livres en question, tous les soixante et six livres qu’on trouve dans les Bibles moderne étaient retenues.



[1]Bart D. Ehrman, Lost Christianities: the Battles for Scripture and the Faiths we never knew (Oxford: Oxford University Press, 2003), 3-4. Voit aussi: Bart D. Ehrman, Lost Scriptures: Books that Did Not Make it into the New Testament (Oxford: Oxford University Press, 2003), 1-2.

 [2]Ehrman, Lost Christianities, 3. “Someone decided that four of these early Gospels, and no others, should be accepted as part of the canon – the collection of sacred books of Scripture.” (Ma traduction.)

 [3]Norman Geisler & William E. Nix, A General Introduction to the Bible (1968; repr., Chicago: Moody Press, 1983), 127.

 [4]Ibid., 128.

[5]F. F. Bruce, The Canon of Scripture (Downer’s Grove, IL : InterVarsity Press, 1988), 269.

 [6]Ibid., 28. « The church’s use of those writings was based on Jesus’ use of them : as his followers searched them further, they discovered increasingly ‘in all the scriptures the things concerning himself (Luke 24 :27). » (Traduction francais la mienne.)

 [7]Ici on devrait mentionner que dans la Bible Chrétienne, les livres de Samuel, Rois, et Chroniques sont divisé en deux.

[8]Le livre des douze Prophètes est un compilation des douze prophètes mineurs, c’est-à-dire : Osée, Joël, Amos, Abdias, Jonas, Michée, Nahoum, Habaquq, Sophonie, Aggée, Zacharie, Malachie. Cf. Bruce, 29.

 [9]Ibid., 29. “The books of the Hebrew Bible are traditionally twenty-four in number, arranged in three divisions. The first division is the Tôrah (‘law’ or ‘direction’), comprising the five ‘books of Moses’ (Genesis, Exodus, Leviticus, Numbers, Deuteronomy). The second division is the Nebî’îm (‘prophets’): it is further subdivided into the four Former prophets (Joshua, Judges, Samuel, Kings) and the four Latter prophets (Isaiah, Jeremiah, Ezekiel, and the book of the Twelve Prophets). The third division is called the Ketûbîm (‘writings’): it comprises eleven books. First come the Psalms, Proverbs and Job; then a group of five called the Megillôt or ‘scrolls’ (Song of Songs, Ruth, Lamentations, Ecclesiastes, Esther); finally Daniel, Ezra-Nehemiah (reckoned as one book), Chronicles.” (Traduction francais la mienne.)

 [10]Cf. Norman Geisler, A Popular Survey of the Old Testament (1977; repr., Grand Rapids, MI : Baker Books, 2007), 15.

 [11]Bruce M. Metzger, The Canon of the New Testament : Its Origin, Development, and Significance (1987; repr., Oxford : Clarendon Press, 1997), 251.

 [12]Cf. Bruce, 36-38.

 [13]Même si la base de l’histoire est vraie, si l’histoire est romancée, alors ce n’est pas, strictement parlant, vrai. Le même problème qu’on à mentionné concernant les pseudépigraphie s’applique ici.

[14]On nous dit, par exemple, que l’évangile de Marc est basé sur la témoignage de Pierre, et, alors, approuvé par Pierre. Un autre exemple de ce type d’autorité apostolique serait, selon David Alan Black, l’évangile de Luc et le livre des Actes des Apôtres. Black avance la théorie, très bien soutenue, que Paul aurait commissionné Luc à écrire l’évangile qui lui est attribué pour être utilisé dans la mission envers les Païens (David Alan Black, Why Four Gospels? The Historical Origin of the Gospels (Grand Rapids, MI : Kregel, 2001).).

 [15]Cf. Metzger, 253. Bruce, 256-9.

 [16]Bruce et Metzger parle de ce deuxième point en parlant du fait que le livre est orthodoxe. “The congruity of a given document with the basic Christian tradition recognized as normative by the church.” (Metzger, 251-2.) “A book that presents teachings deemed to be out of harmony with such tradition would exclude itself from consideration as authoritative Scripture.”(Metzger, 252-3.) Cf. Bruce, 260-1.

 [17]La réception universelle pouvait prendre un peu de temps, mais, les livres qui étaient accepté dans le canon sont ceux qui, commençant avec une acceptation local ont étaient, éventuellement, à travers l’église universelle. Cf. Metzger, 253. Bruce, 261-3.

 [18]Cf. Metzger, 251-4, Bruce, 255-69.

 [19]Bruce, 259-60.

[20]Geisler & Nix, 138.

 [21]Craig A. Evans, Fabricating Jesus : How Modern Scholars Distort the Gospels (Downer’s Grove, IL : InterVarsity Press, 2006), 61.

 [22]Cf. Evans, 52-157. N.T. Wright, Judas and the Gospel of Jesus : Have We Missed the Truth about Christianity (Grand Rapids, MI: Baker Books, 2006). Darrell L. Bock, The Missing Gospels: Unearthing the Truth Behind Alternative Christianities (Nashville, TN: Thomas Nelson Publishers, 2006).